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EN PROFONDEUR

En profondeur: Texte
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BAS-FONDS

Dans l’aspect visuel des Bas-Fonds, on a décidé de s’inspirer de la Russie de 1990, les photographies de Lise Safarti ont été une de mes grandes inspirations pour ce projet.  On voulait mettre en valeur la misère et la pauvreté extrême des personnages. En effet, on voulait montrer des vêtement totalement sales et détruits, c’est pour cette raison qu’un de des défis de cette production a été la patine car elle est très présente dans chaque élément de costume. De plus, on voulait faire ressortir les personnages dans un décors plutôt sombre, alors, le choix des couleurs et demotifs était très important, tout en s’inspirant de l’époque et des caractéristiques de chacun des personnages. Dans cette conception, j’ai eu l’opportunité de vraiment comprendre chaque personnage et de le représenter avec une certaine minutie, on peut le voir dans certains détails comme le maquillage, les tatouages, les bijoux, les coiffures, les motifs et les couleurs. Le Bas-Fonds possède une esthétique visuelle très particulière et très forte qui se marie très bien avec le drame du texte et de l’histoire.

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L'IMPRESARIO DE SMYRE

Dans le cadre du cours de conception de costumes, on a dessiné notre propre conception pour la Pièce l’impresario de Smyre. Dans mon cas, je suis allé avec le 18e siècle comme époque et je me suis inspiré de la ridiculité des personnages. En effet, ils ont tous un énorme besoin d’attention, ils veulent être vus le plus possible. Alors, dans ma conception, plus la pièce avance plus leurs costumes deviennent ridiculement gros et chargés.  Il y a tellement des ornements et de couleurs qu’à la fin ils deviennent presque des caricatures. Ce projet est un de mes préférés car il m’a permis de vraiment explorer et mettre en valeur mon côté imaginatif.

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L'ÉCHELLE

L’Échelle était un projet de création entre L’École de théâtre de St-Hyacinthe et l’École supérieure d’art dramatique de Saint-Étienne. Le texte a été écrit par Martin Bellemare, c’est une pièce qui est sous la forme d’une charade. Elle met en avant le jeu, le divertissement et la fiction, tout en remettant en question la société dans la quelle on vit. L’Échelle met en valeur la parole et la critique. Pour cette pièce, la conceptrice Sabrina Gladu et moi, avions la charge de la réalisation des accessoires. Il y avait plusieurs éléments à trouver et d’autres à fabriquer. Quelques-uns de nos défis étaient la fabrication d’une lampe néon circulaire, un paravent et une banderole qui devait se plier et se déplier sur une grande surface, s’accrocher sur le décors et où les acteurs devaient dessiner à chaque représentation.

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ON ACHÈVE BIEN LES CHEVAUX

Appauvris par la crise économique, des couples s’inscrivent à un impitoyable marathon de danse dont l’enjeu est de gagner $1500. Nous sommes en 1930, à Québec, les participants et les participantes n’ont plus rien à perdre. Le couple qui demeurera seul en piste, après une semaine, gagnera une petite fortune. Les couples seront humiliés et manipulés par l’organisateur, un escroc qui, durant la prohibition, utilise l’événement pour détourner l’attention d’une opération de contrebande d’alcool vers les États-Unis. Pour On achève bien les chevaux, la conceptrice Alicia Brodeur et moi étions les responsables de la conception de décors. La pièce est jouée à l’Élisabéthaine et un de nos plus grand défis était d’habiller la salle le plus possible. On s’est inspirées des couleurs et motifs des années 30, des cirques et des fêtes foraines de cette époque-là. On voulait faire une genre de prison où les spectateurs pourront regarder la souffrance et la douleur des danseurs comme si ceux-ci devenaient de bêtes foraines.

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